Divergente 2 : l’insurrection

Divergente 2 : l’insurrection

Divergente 2 : l’insurrection

Réalisateur(s) : Robert Schwentke
Acteur(s) : Shailene Woodley, Theo James, Octavia Spencer…
Genre(s) : GRAND SPECTACLE
Origine : USA
Durée : 1h54
Synopsis : Dans un monde post-apocalyptique où la société a été réorganisée autour de 5 factions (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères et Fraternels), Tris a mis au jour un complot mené par la faction dominante, les Érudits, dirigés par Jeanine. Abandonnant une ville à feu et à sang, à la recherche d’alliés, Tris et Quatre sont désormais traqués par les autorités. Jeanine décrète la loi martiale pour anéantir les Divergents, tandis que la guerre entre les factions prend de l’ampleur. Pourquoi les Divergents sont-ils une menace pour la société ? La découverte d’un objet mystérieux, hérité du passé, pourrait bien bouleverser l’équilibre des forces…

Divergente 2 s’avère encore meilleur que le premier volet de cette trilogie adaptée du best-seller de Veronica Roth, jeune romancière âgée de 22 ans quand elle s’est lancée dans cette saga d’anticipation… très féminine. Etre « Divergente », c’est le choix de sa jeune héroïne justement, Tris, qui a refusé un monde où chacun est assigné à une caste et a triché aux tests qui devaient baliser son parcours. Dans ce deuxième opus, cette sauveuse féminine s’est coupé les cheveux et affronte des troupes innombrables dirigées par une « méchante » jouée par Kate Winslet. Bien sûr, il n’y a plus ici l’effet de surprise de la découverte d’un monde postapocalyptique et des ruines d’un Chicago futuriste et fortifié dans lequel les survivants se divisent, selon leurs aptitudes et tempéraments, en cinq factions auxquelles personne ne peut échapper. Sauf l’héroïne, donc, prétexte à un véritable film d’action mené tambour battant par Tris et Quatre, couple de combattants plus physiques que jamais face aux dangers qui les cernent en permanence. Les séquences spectaculaires et effets spéciaux impressionnants se multiplient. Les femmes en première ligne dans un blockbuster hollywoodien, ça fait du bien. Parité aussi chez les gros bras aux mitraillettes futuristes.
Le Parisien

Partager